laffargue@anthonylaffargue.com
519 route du poirier à l'âne
74 160 Collonges-sous-Salève
0033 (0)7 83 30 25 73
----- centre d'entretien routier en Savoie ----- Le système constructif utilise majoritairement des éléments issus directement de la filière bois, utilisés le plus souvent bruts, massifs et relativement peu transformés, dans une recherche d'économie, de simplicité et de pérennité, et de valorisation du matériau naturel. Les options techniques associent les éléments structurels en bois et les éléments d'enveloppes en bois selon la nature et les performances thermiques des espaces, qui déterminent deux systèmes constructifs : une charpente et enveloppe de bois massif, pour la partie du bâtiment nécessitant seulement un maintien hors-gel, et un dispositif tramé de murs de refends en panneaux de bois massif contrecollé pour la partie du bâtiment nécessitant une isolation. L'ensemble est habillé d'un manteau extérieur enveloppant et protecteur de planches de bois brûlé. La surface brûlée au chalumeau pour créer une pellicule carbonée de protection détermine une esthétique et une poétique particulière qui associe naturellement un long volume étiré de bois sombre à la présence généreuse du végétal. La qualité esthétique de l'ouvrage est donnée par la présence uniforme du matériau naturel, parois de bois brut, sols de bois huilé à l'étage, et par l'association d'équipements sélectionnés dans des gammes qualitatives: luminaires de marques, interrupteurs, prises et boîtiers de sol en fonte d'aluminium, goulotte en acier galvanisé, corps de chauffe en fonte, siphons en laitons chromé, etc.
----- PORTFOLIO 2016 ! ----- ----- exposition ----- | |||||
projet de fin d'étude selectionné au prix de la jeune architecture
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----- en poste depuis le 02.10.2015-----
----- Habiter la métropole Bâloise ----- Habiter une grande figure métropolitaine : la gravière. Traverser la nature envahissante, atteindre le centre d'un édifice pour se retourner et dominer le site. Ce projet propose d'habiter la métropole, un contexte qui est globale. Pour cela l'habitant adopte une posture insulaire par rapport à son contexte proche et physique. Les premiers niveaux font place à « la pièce », un plan cruciforme, symétrique et régulier. Cette morphologie permet de créer différentes pièces ouvertes sur l'extérieur, chacune de ces pièces fait partie d'un logement, comme une annexe. Elle répond à la demande d'habiter spécifique à Bartenheim : habiter un espace extérieur. Dans les derniers niveaux prend place un autre type de plan idéal où la pièce ne subsiste plus, elle a fait la place à l'espace fluide et articulé. Entre ces deux plans, le projet met à l'épreuve la notion de « pièce », se jouant de petits décalages et générant une multitude de types de logements. Ainsi on trouve un appartement communautaire au quatrième niveau ou chaque habitant bénéficie d'un espace privé entièrement isolé du reste de l'appartement. Plus haut en revanche l'espace se dénoue et les usages se faufilent entre les interstices provoqués par l'écartement des murs les uns par rapport aux autres. Les appartements obéissent tous à une dynamique centrifuge, du noyau central espace de transition, aux logements ouverts sur l'extérieur. . C'est un travail sur les types de logements, l'art de vivre, la notion de contemporanéité au regard de notre héritage classique et moderne qui sont synthétisés ici.
----- Recherche en vue du Projet de fin d'études -----
----- Iconographie -----
----- Projet d'édifice ------
| Le projet urbain du semestre 5 utilise la figure d'un axe comme moyen de désenclaver le quartier et d'incorporer plusieurs séquences de ville, séquences de vie. Cette "mono-orientation" du projet permet de donner aux usagers du quartier une direction unique. Elle garantit aussi l'utilité du projet. Le projet d'édifice permet de proposer une autre option pour le promeneur, une autre direction. Ce nouvel élément doit être ordonnancé relativement à l'idée initiale du projet urbain. Cette possibilité doit être plus subtile. Ainsi parcourir la rue piétonne est évident, quotidien alors que se rendre au centre culturel est un acte choisi, une faille dans un emploi du temps et dans la ville, qui permet de s'échapper le temps d'une visite. > plans < > details <
----- Succursale Citroën -----
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Ce bâtiment construit à l'âge d'or de l'automobile, dans l'entre deux guerres est présenté comme «la plus grande Station Service d'Europe » et a fait l'objet d'une réhabilitation et reconversion par Sud Architectes et Alep Architectes. Les enjeux d'une telle requalification sont nombreux. Il s'agit de valoriser un patrimoine du XXème siècle, industriel, qui marque le début de la modernité. Aussi le changement d'usage d'un bâtiment de cette envergure se confronte à d'importantes contraintes techniques et normatives. L'architecte n'a d'autre choix que d'assumer l'ambiguité de valoriser le bâtiment par sa dimention patrimoniale en même tant qu'il permet l'insertion d'un programme d'activité détachées du sujet architectural. Le contenant ne signifie donc plus le contenu. Une vision contemporaine de l'architecture. En phase DCE il s'agit avant tout de répondre aux normes en préservant la généricité offerte par le bâtiment historique.
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architectes mendataires: SUD ARCHITECTES
> images <
| ----- Mémoire -----
| UIA Competition Mémoire
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